Y retourner

D'un côté, me dire que dire les choses dites oralement ne sont pas suffisantes, que seuls les écrits restent.

Mais qu'il faut quand même prendre le temps de parler même si lesdites personnes feront la sourde oreille le temps venu.

Et garder des traces écrites, intangibles.

J'ai fait les deux.

Que sait le DRH himself dans ce navire où chacun tire la couverture à soi pour se protéger, se mettre en valeur, gagner plus que plus...

Faut-il lui envoyer un récapitulatif de tous ces entretiens signés de ma N+1 puis de mon N+2 dont il ne sait toujours pas qu'il est n'est plus mon N+1.

Préfère-t-il la venue de l'inspection du travail ? qui s'achète peut-être moins que le médecin du travail dont on a changé car elle n'allait pas dans son sens.

Je vais subir encore aujourd'hui, par connerie ou par conscience pro, jusqu'à mon entretien psy de midi, si d'ici là, bourrée de médocs, je ne me recasse pas la gueule comme hier.

Parce que mon handicap ne se voit pas, parce qu'on m'a appris qu'il fallait bosser dans la vie, parce que ça reste peut-être la dernière étape avant de vouloir disparaître totalement.